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13/11/2022

L’angoisse - je dis bien : chez moi ! - est à son apogée au matin une à deux heures après le réveil, précédée par la tristesse d’être en vie, elle-même secouée, pour l’élégance et par élégance, en décision de vie et d’amour, charnel, de la vie.

 L’angoisse – je dis bien chez moi ! – me tient dans ses serres jusqu’à midi. Puis, elle me laisse. Elle desserre l’étreinte vraiment vers les 18H. La soirée est de paix.

Parallèlement, je suis très fatiguée jusqu’à midi, me sens tonique vers 21h sans café, vers 18h si je prends du café une heure avant, ce qui ne m’empêche jamais de dormir. Cette fatigue chronique s’explique : je lutte dans l’angoisse, même si je ne cherche pas à m’opposer à elle, et l’organisme peine.

Ma grande chance est que la fatigue et l’angoisse ne m’empêchent ni d’entreprendre ni de mener à bien ce que je veux réaliser.

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